vineri, 6 martie 2015

Much Ado about Nothing

     Much Ado about Nothing is one of the great comedy plays by William Shakespeare. The play revolves around two pairs of lovers, Beatrice and Benedick and Claudio and Hero.
The play begins with Don Pedro retturning from victory against his brother, Don John. Don Pedro visits Leonata on his way home. In Messina, Claudio falls deeply in love with Hero, Leonata's daughter and Benedick with the Leonata's niece, Beatrice.
The story takes place in Messina, Italy. Leonata has one daughter who is named Hero; he is also raising Beatrice, his niece. When Claudiomeets Hero the first night they fall instantly in love. They decide to make Benedick and Beatrice to fall in love and their plan works. Don John try again to come up with another plan, he tricks Claudio into thinking that Hero loves somebody else so that their wedding will be ruined. Claudio is furious and swears to deny Hero next day at their wedding but the wedding's day is saved by Dogberry.
Themes:the importance of honor, deception
Motifs: public shaming, nothing, entertainment
Symbols: war, Hero's death

Les conceptions philosophiques de R. Decartes

              René Descartes, né à La Haye en Touraine (devenue Descartes) le 31 mars 1596 et mort à Stockholm (Suède) le 11 février 1650, est un mathématicien, physicien et philosophe français, considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne selon les mots de Hegel.  Descartes est le plus connu des philosophes français. L'esprit cartésien caractérise la rigueur rationnelle à cause de sa célèbre méthode inspirée des mathématiques. Pourtant Descartes affirmait qu'il faut consacrer une heure par an aux œuvres de la raison, une heure par mois à celles de l'imagination et une heure par jour à celles des sens.
        En sa quête métaphysique, Descartes approfondit l’essence du dynamisme spirituel de l’homme : il souligne la supériorité de l’entendement (faculté par laquelle nous apercevons les idées) sur l’imagination (puissance de représenter les choses de manières sensibles).
Descartes considère la liberté d’indifférence  comme le plus bas degré de la liberté.
Dans une définition célèbre, Descartes affirme que la philosophie est comme un arbre dont les racines sont la métaphysique et donc le tronc est la physique. Les branches qui sortent du tronc représentent toutes les autres sciences.

a) 1604 - 1612

       Son père s’est occupé attentivement de l’éducation de son plus jeune fils et a été frappé par la curiosité, la facilité pour les mathématiques et la soif de savoir de René. Vers sa dixième année, Descartes est envoyé au collège de Jésuites de La Flèche et il suit pendant 8 ans le cours des études profondes et sérieuses dirigées par des maîtres de grande qualité.

b) 1613 - 1629

     Après avoir quitté La Flèche, peut-être en quête d’une occupation, Descartes fait quelques voyages. En 1618, on le retrouve en Hollande, engagé dans les armées. Comme dit la légende, en novembre 1619, Descartes gelé du froid s’abrite dans la poêle belge et y fait le rêve d’une « science admirable ». Il prend cela pour un signe lui enjoignant de consacrer le reste de sa vie à la recherche de la vérité. À cette époque, les philosophes dogmatiques n’offraient que des systèmes plus ou moins renouvelés des Grecs, avec quelques propositions qui les rendaient suspects à la théologie régnante ; et les autres faisaient un grand étalage d’érudition, pour avouer finalement qu’ils ne savaient rien. Le reproche principal de Descartes aux telles philosophes consiste en ce que leurs systèmes sont contestables, donc ils ne peuvent pas obtenir la vérité. Évidence et certitude – telles sont les deux bouts de la future Méthode de Descartes.


c) 1629 - 1649

      Après quelques autres voyages et de longs séjours en province et à Paris, en 1629 Descartes décide de s’installer encore en Hollande afin d’y travailler en paix. Désormais les événements majeurs de sa vie sont ses œuvres. Le premier ouvrage de Descartes écrit en latin, sous le titre Les Règles pour la direction de l’esprit, devient le premier exposé de la méthode cartésienne. Puis Descartes commence un autre petit traité de métaphysique et la rédaction d’un traité de physique qui expose la structure du monde. En 1637, il publia, mais sans le signer et en français (ce qui est d’une grande nouveauté pour l’époque), le Discours de la Méthode suivi de trois petits essais scientifiques : La Dioptrique, Les Météores et La Géométrie.


d) 1649 - 1650

   Autres grandes œuvres se succèdent rapidement : Les Méditations métaphysiques, Les Principes de la philosophie, puis une version française de ces Principes, et enfin le traité Les Passions de l’âme parut en Hollande et en France en novembre 1649 alors que Descartes est déjà arrivé à Stockholm où il mourra très peu de temps après, le 11 février 1650.


1637 - Discours de la Méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences, suivi des trois traités: la Dioptrique, les Météores et la Géométrie

1641 - Méditations sur la philosophie première, in quibus De existential et animae immortalitatis demonstrantur (avec six séries d’Objections)

1644 - Principes de la Philosophie

1649 – Traité des passions de l’âme

Dans ce discours, Descartes expose son parcours intellectuel de façon rétrospective, depuis son regard critique porté sur les enseignements qu'il avait reçus à l'école, jusqu'à sa fondation d'une philosophie nouvelle quelques années plus tard. Il y propose une méthode (composée de quatre règles) pour éviter l'erreur, et y développe une philosophie du doute, visant à reconstruire le savoir sur des fondements certains. Il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu..
Le Discours de la méthode est l'occasion pour Descartes de présenter une morale provisoire, tenant en quelques maximes de conduit. Enfin, le traité présente des déclarations sur le rapport de l'homme à la nature, représentatives de la modernité.
                                     Sommaire:  
 I) L'objectif de la méthode  
II) Le principe de la méthode  
 III) La morale par provision temporaire et ses maximes  
IV) Le cogito ou la vérité indéniable  
 V) L'évolution de sa méthode en plaçant Dieu au centre     de ses arguments  
VI) Conclusion de Descartes
Le classicisme, une des époques culturelles les plus brillantes de l’histoire de la France, est une expression idéologique et esthétique de la monarchie absolue. Il se développe pendant toute la première partie du siècle et atteint son apogée vers les années soixante. 

Le classicisme est en liaison étroite avec les courants philosophiques de l’époque, en premier lieu celui du rationalisme de Descartes dont il subit l’influence. L’esthétique classique est fondée sur trois principes essentiels : rationalisme, imitation de la nature et l’imitation de l’Antiquité. 


Descartes cherchait une science pratique qui puisse guider les hommes dans les divers chemins où ils s’engagent, les aider à devenir « maîtres et possesseurs de la nature ». Descartes cherchait une méthode qui permette à l’esprit de progresser avec assurance et lucidité dans la recherche de la vérité, dans n’importe quel domaine de la connaissance.

Denis DIDEROT - Jacques le Fataliste et son maître

Deux personnages, un valet et son maître, chevauchent plus ou moins paisiblement sur des routes, vers une destination qui restera inconnue, s'arrêtent dans des auberges, devisent à bâtons rompus : questions philosophiques, souvenirs intimes, anecdotes... Au fil de leur voyage, d'autres individus de rencontre y vont aussi de leurs récits, et voilà que s'ouvrent de nouveaux tiroirs, qui multiplient les niveaux temporels et les registres, ou confondent allégrement la réalité et la fiction.
Dès l'incipit du roman, le ton est donné : avec arrogance, le narrateur affirme sa liberté de démiurge et s'emploie à saper les fondements mêmes de l'illusion romanesque. Nous comprenons que nous avons affaire à un jeu neuf qui échappe ironiquement à la classification des genres : c'est à la fois un roman à la ligne picaresque et une gerbe de récits allant de la nouvelle au conte, qui peuvent s'amenuiser jusqu'à l'anecdote ou le bon mot, truffée d'une série d'essais de morale ou d'esthétique, où le génie de Diderot s'exerce au sermon, à l'oraison funèbre, à la fable, au portrait, à la dissertation. Mais si nous devons accepter dès le départ cette construction binaire du roman et des récits adjoints, ces deux mouvements ne sont pas inconciliables pour autant : les récits se rattachent plus ou moins au noyau central par un personnage, un thème récurrent ou un simple écho.
L'originalité deJacques le Fatalistetient, nous l'avons dit, au statut du narrateur. Bien loin, comme il le devrait, d'entretenir l'illusion romanesque, celui-ci ne cesse de révéler sa présence. Ses commentaires peuvent prendre la forme de remarques évasives ou de jugements sur ses personnages, mais on peut plus fréquemment y distinguer deux sujets essentiels :
 C'est d'abordle fatalisme, qui donne son surnom à Jacques et constitue pour les philosophes des Lumières, et pour Diderot en particulier, une interrogation permanente (c'est aussi le sujet duCandidede Voltaire). « Tout est écrit là-haut »,  « chaque balle a son billet », « le grand rouleau où tout est écrit » : les expressions ne manquent pas pour exprimer la conviction de Jacques, qu'on appellerait plus justement aujourd'hui le déterminisme.
Le fatalisme est un système qui affirme une nécessité fatale (fatum), devant laquelle les décisions et les actions des hommes sont inopérantes. Dans la langue philosophique, cette résignation au destin peut, comme chez les Stoïciens, prendre la forme d'un consentement actif aux volontés divines, mais dans son acception usuelle, le mot désigne plutôt une soumission paresseuse. C'est plutôt de déterminisme qu'il faudrait parler dans le cas de Jacques, adepte lointain, via son capitaine, des théories de Spinoza.

Henry V

     
It is widely agreed that Henry V was written in 1599. Henry V has been praised by many scholars as a vigorous portrayal of one of England's most popular national heroes.
       Henry V is one of Shakespeare's so-called history plays. The play is full of noble speeches, heroic battles valiant English under-dogs who fight their way to victory against all odds. Additionally, King Henry seems to be a perfect leader-brave, modest and fincely focused, but with a sense of humor to match. Henry V is the most famous and influential of Shakespeare's history plays.
       The play is set in England in the early fifteenth century. The political situation in England was tense: King Henry IV has died and his son, the young King Henry V, has just assured the throne. After claiming certain parts of France, he receive an insulting message as a respons to these claims and he decided to invade France. The night before the battle, King Henry disguises himself as a common soldier and talks to many of the soldiers in his camp. The English win the battle and finally are worked out peace negotiations. Henry will marry Catherine, the daughter of the French king and the marriage will unite the two kingdoms.
     The themes presented are the ruthlessness of the Good king, the diversity of the english; motifs: male interaction, war imagery,; symbols: the tun of tennis balls