CATHÉDRALE NOTRE-DAME de Paris
Notre-Dame de Paris, est la cathédrale de l’archidiocèse catholique de Paris. Elle est située à l’extrémité est de l’île de la Cité, dans le quatrième arrondissement de Paris. Sa façade occidentale domine le parvis.
La construction s’étant étendue sur de nombreuses décennies (deux siècles), le style n’est donc pas d’une uniformité totale : elle possède ainsi des caractères du gothique primitif et du gothique rayonnant.
Les deux rosaces qui ornent chacun des bras du transept sont parmi les plus grandes d’Europe.
Comme la plupart des cathédrales françaises, Notre-Dame de Paris a un plan en forme de croix latine.
La lecture SYMBOLIQUE peut nous aider à en comprendre le sens :
le CARRÉ est le symbole de L’ESPACE CRÉÉ, LIMITÉ.
le CERCLE est le symbole de l’ILLIMITÉ, figure parfaite sans commencement ni fin, image de Dieu.
La tête de la Vierge et de Jésus s’inscrivent exactement au centre de la rose occidentale.
Au centre de la façade, au niveau de la galerie dite de la Vierge, une grande rose occupe le centre de la façade constituant comme une auréole à une statue de la Vierge à l’Enfant entre deux anges. A droite et à gauche, les statues d’Adam et d’Eve rappellent la faute originelle.
BASILIQUE DU SACRÉ-CŒUR de Montmartre
(Montmartre est le quartier le plus réputé de Paris et même de France)
Avec plus de dix millions de pèlerins et visiteurs par an, c'est le second monument de France le plus visité après la cathédrale Notre-Dame de Paris.
La première pierre est posée en 1875. La basilique est en forme de croix grecque, ornée de quatre coupoles.
À l'intérieur, le plafond de l'abside est décoré de la plus grande mosaïque de France (couvrant une surface de 473,78 m2 ).
Elle représente le Sacré-Cœur de Jésus glorifié par l’église catholique et la France. À sa base on peut lire une phrase en latin signifiant : « Au Cœur très saint de Jésus, la France fervente, pénitente et reconnaissante. »
MOULIN ROUGE
Le Moulin Rouge est un cabaret parisien construit en 1889, Il est situé au pied de Montmartre.
Étymologiquement, « cabaret » ou « cabret », terme d’origine néerlandaise, signifiait petite chambre ou établissement où l’on sert des boissons. Cela représentait donc un établissement chaleureux, convivial où l’on pouvait s’amuser.
Contexte
Le Moulin Rouge parut dans La Belle Époque, une période de paix et d’optimisme marquée par le progrès industriel et un foisonnement culturel particulièrement riche.
Un moment de répit entre deux guerres ; une période de transition entre deux siècles, où les barrières sociales s’effacent, où le progrès industriel donne à tous l’espoir de vivre mieux.
Passion
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miercuri, 24 iunie 2015
Bretagne
située dans le nord-est de la France et à l’ouest de l’Europe .
elle sépare la Manche de l‘océan Atlantique.
la mer l’entoure sur trois côtes. La côte est 120 km et s’étendre au nord de Côte d’Emeraude à Côtes d’Armor.
la Bretagne a une surface de 34 000 km² et une population de 3 900 000 habitants.
riche en petites villes qui sont situées surtout près de la mer.
la côte bretonne c'est le facteur pour le dévélopment du tourisme.
elle sépare la Manche de l‘océan Atlantique.
la mer l’entoure sur trois côtes. La côte est 120 km et s’étendre au nord de Côte d’Emeraude à Côtes d’Armor.
la Bretagne a une surface de 34 000 km² et une population de 3 900 000 habitants.
riche en petites villes qui sont situées surtout près de la mer.
la côte bretonne c'est le facteur pour le dévélopment du tourisme.
Les origines du costume breton sont relativement récentes (XVIe siècle).
On recense habituellement 66 modes bretonnes, ce qui signifie 66 costumes et coiffes, qui représentaient des communautés aux personnalités différentes (à l’échelle d’un pays ou d’une paroisse). Chaque coiffe avait un aspect particulier et une forme originale.
Chaque costume montrait un signe extérieur de richesse. On ne sortait son costume et on ne revêtait la coiffe qu’aux grandes occasions professionnelles ou solennelles.
Les modes vestimentaires paysannes bretonnes ont commencé à décliner en 1914, au profit des habits citadins. Les cercles celtiques les ressortent à l’occasion des fêtes bretonnes, des pardons et des nombreuses manifestations culturelles qui rythment et animent l'été breton. Vous pourrez alors admirer coiffes et costumes. Et si l'image de la Bigoudène est très répandue, c'est que, outre l'aspect spectaculaire de la coiffe, cette mode a perduré dans le pays bigouden plus longtemps qu'ailleurs.
En tout cas, ne vous attendez pas à croiser des Bretons en costume à tous les coins de rue, vous aurez plus de chances d'en voir dans les festoù-noz.
Emblèmes et symboles bretons:
Le drapeau breton : Créé en 1923 par Morvan Marchal, fondateur et militant du mouvement nationaliste Breizh Atao, il fut déclaré drapeau national breton en 1927. Ses cinq bandes noires représentent les évêchés de haute Bretagne (parlant le français) et ses quatre bandes blanches les évêchés de basse Bretagne (parlant le breton). Le quart gauche est occupé par onze mouchetures d'hermines. Le nombre de mouchetures d'hermine n'aurait pas de signification.
La triskèle (ou le triskell) : outre le drapeau, il est avec l'hermine le symbole le plus répandu en Bretagne. Sorte de croix formée de trois spirales ou ailes. Ces branches représenteraient les trois éléments, l'eau, le feu et la terre.
L'hermine : l'hermine est devenue emblème de la Bretagne au début du XIIe s grâce au mariage d'Alix, héritière du duché de Bretagne, et de Pierre de Dreux, un duc capétien. En plus de ses armes, Mauclerc portait en brisure une hermine pour se distinguer des membres de sa famille. Alix adopta les armes de son mari (et son hermine). On retrouve le symbole de l'hermine sur le drapeau breton.
- La croix celtique : symbole essentiel du christianisme, la croix est, en pays celte, inscrite dans un cercle. On peut l'assimiler au « cercle druidique » (où se tiennent les rites), mais également au symbolisme de la roue, très présent dans la tradition celtique. La roue illustre notamment la notion de temps (pour les Bretons, le temps tourne mais ne passe pas).
Musique bretonne : danses et fest-noz
La grande révolution s'opère dans les années 1960, avec le regain d'intérêt pour la musique et les instruments traditionnels. L'autre phénomène fondamental est l'urbanisation du fest-noz, qui a été synonyme, pour une fois, de promotion et d'enrichissement.
Ce qui frappe la première fois que l'on se rend à un fest-noz, c'est tout d'abord son côté collectif et multigénérationnel. C'est ensuite son caractère gai et vivant. La danse s'est faite plus sensuelle, plus légère et a su conquérir un nouveau public. Sans perdre une once de son âme, car elle est restée, comme autrefois, une danse collective avant tout : on danse en chaîne, soudés les uns aux autres.
Pardons
Aucune terre d'Europe ne possède une telle architecture religieuse. On édifia des églises dont les clochers étaient de vrais morceaux de bravoure, on sculpta des calvaires et des croix comme autant de prières. Entre religion et croyances populaires, les pardons sont nés naturellement.
Leur but : rendre hommage annuellement et collectivement au saint local, véritable intercesseur entre les hommes et le Ciel. Chaque paroisse a le sanctuaire de son éponyme, parfois plusieurs, disséminés dans la campagne, au hasard des chapelles. Aussi les pardons sont-ils nombreux et variés. Certains ont gardé un ton franchement religieux, d'autres beaucoup moins.
La Bretagne partage, avec le sud ouest de l'Angleterre, les histoires du Roi Arthur.
Il n'y a que dans la région nord-ouest de la France que la tradition gauloise, avec son parler et sa culture celtiques, à réussi à survivre; mais la survie fut forte, car cette langue celtique et ce patrimoine culturel ont réussi à se maintenir jusqu'à nos jours, malgré d'énormes pressions; c'est ainsi que la Bretagne est, aujourd'hui, la plus grande région de culture céltique qui reste sur le continent européen.
Gastronomie bretonne
La Bretagne est réputée pour sa cuisine, qui a trois caractéristiques: la simplicité, l'authenticité et la qualité de ses produits.
Le "plateau de fruits de mer" est un des fleurons de la gastronomie bretonne.
ki-ha-farz
Plat traditionel breton par excellence, le kig-ha-farz est une sorte de pot-au-feu sans autre viande que du lard.
crêpes (de froment)
De toutes les spécialités bretonnes, c'est sans doute la plus renommée. La crêpe peut être garnie de mille ingrédients mais elle se mange couramment sucrée.
far breton
Le far est un monument de la cuisine bretonne. Ce flan moelleux doré est très courant comme dessert et reste un classique du genre chez les boulangers.
Les regions traditionels de la France
Le Nord-Pas-de-Calais est situé à l'extrême nord de la France et est composée des deux départements du Nord et du Pas-de-Calais.
S’il y a une chose qui “signe” l’identité du Nord, cc’est bien les braderies. Ces événemets constituient une véritable rendez-vous de la vie sociale et economique, de leurs origines à nos jours, elles sont toujours aussi vivaces.
La plus grande, la braderies de Lille est organisé sur le premier week-end de septembre et a connaît un succès qui étonne.
Les braderies sont les symboles qui identifiés le meilleur la region Nord-Pas-de-Calais, en constituant véritable “rendez-vous” sociale et économique. La plus grande d’Europe c’est la braderie de Lille.
Flamands, Artésiens, ne ratent aucune occasion de s’amuser. Kermesses, brocantes, ducasses et jeux traditionnels animent le plat pays en attendant l’éveil des géants et les grands cortèges carnavalesques qui se tiennent notamment à la période de Mardi gras.
Les gens du cette region apprecient chaque occassion de s’amuser, par des kermesses, des ducasses, des braderies et, surtout, par des carnavals.
Occasion de se déguiser et de suivre des défilés de chars, les carnavals se déroulent traditionnellement au moment de Mardi gras, comme à Dunkerque, où la fête dure trois jours. C’est une brèche dans le quotidien, où toutes les extravagances sont permises. La
différence entre
acteurs et spectateurs
est abolie : on n’assiste
pas au carnaval, on le vit !
Les carnavals sont les plus attrayants évènements du Nord-Pas de Calais,que durent trois jours et se manifestent par une défilé sur le rue de la ville des les gens dégisés en diferents costumes.
On les nomme « gayants » en picard ou « reuzes » en flamand. Ils forment une famille prolifique – environ 200 personnages – et incarnent l’âme de toutes les fêtes. Ils se manifestent au son des fifres et des tambours, entourés de diables, gardes du
corps, roue de la fortune… et de
leur progéniture, souvent
nombreuse.
On rencontre des personnages historiques , des couples célèbres, Colas et Jacqueline à Arras,
héros de légendes ,
les personnages populaires .
Jeux traditionelles:
-tir à l’arc, tir à l’arbalète
-le billon
-le tonneau
-les jeux des balles et des boule
-les quilles
-Bon à savoir!
À travers de la musique française
Certaines légendes vantent les vertus de la musique, tantôt maléfique, parfois bénéfique. Ainsi la légende d’Orphée, dont la femme, Eurydice, fut mordue par un serpent le jour même de ses noces. Orphée descend alors aux Enfers, et charme par la douceur de son chant les divinités infernales qui lui rendent son épouse.
Mais il n'existait alors aucune règle. C'est alors en Chine que l'on a retrouvé les premières traces de théorie musicale, qui dateraient d'environ dix siècles avant Jésus-Christ. Cette musique est inséparable de la poésie et de la danse, pour certains sages elle exprimait l'équilibre entre le ciel et la terre.La musique française est née au Moyen Âge, avec le genre proche du plain-chant grégorien, nommé organum. Elle s'est ensuite développée sous l'égide de l'école de Notre-Dame ou de l'Ars antiqua avec le conduit, un chant de procession. À cette époque, les troubadours et les trouvères affirmaient davantage l'indépendance de l'art lyrique face au clergé. Puis dans les classes aisées s'est développée l'école de l'Ars nova autour de la création de motets et de messes, mais aussi de chansons profanes, dédiées à la distraction.
Mais il n'existait alors aucune règle. C'est alors en Chine que l'on a retrouvé les premières traces de théorie musicale, qui dateraient d'environ dix siècles avant Jésus-Christ. Cette musique est inséparable de la poésie et de la danse, pour certains sages elle exprimait l'équilibre entre le ciel et la terre.La musique française est née au Moyen Âge, avec le genre proche du plain-chant grégorien, nommé organum. Elle s'est ensuite développée sous l'égide de l'école de Notre-Dame ou de l'Ars antiqua avec le conduit, un chant de procession. À cette époque, les troubadours et les trouvères affirmaient davantage l'indépendance de l'art lyrique face au clergé. Puis dans les classes aisées s'est développée l'école de l'Ars nova autour de la création de motets et de messes, mais aussi de chansons profanes, dédiées à la distraction.
La Renaissance a vu se développer la polyphonie et le chant. À partir du tournant du XVIe au XVIIe siècle, début de la période de la musique baroque, on vit apparaître de nouveaux genres comme l'air de cour, le ballet de cour, et la suite de danses. La musique instrumentale prit davantage d'importance. L'opéra fut introduit en France par Jean-Baptiste Lully dans les années 1670. Enfin, les chants régionaux, militaires, marins, religieux, ouvriers et paysans ont fait leur réapparition dans le patrimoine musical français ces dernières années, notamment grâce au Chœur Montjoie Saint Denis.
Une gamme avait été aussi inventée, comportant cinq notes, qui se succédaient de quinte en quinte ascendante, en partant de fa. Chaque note avait valeur de symbole : la première représentait un prince, la deuxième un ministre, etc. Bien après, apparut une autre gamme de sept notes, elle est semblable à celle que nous utilisons aujourd'hui. Ces deux gammes sont encore utilisées en Chine.
La musique fait partie des expressions culturelles les plus anciennes. Par conséquent, il est difficile de dater précisément l’origine de la musique. L’étude des civilisations anciennes a permis de mettre en avant le fait que la musique a toujours été présente sous des formes diverses et variées en fonction des lieux géographiques et des populations concernées. Même si l’origine de la musique est ainsi difficile à déterminer son importance pour l’humanité ne peut être niée. C’est en Chine, 2500 ans avant notre ère que l’on retrouve les premières théorisations de la musique. Les instruments de musique étaient déjà nombreux et une gamme comportant cinq notes avaient mêmes été inventées. Depuis, l’importance de la musique a pu être observé auprès de toutes les civilisations : occidentales, asiatiques, africaines ou encore américaines. Il existe depuis longtemps en France des traditions musicales variées selon les bassins linguistiques et culturels régionaux : -Musique alsacienne -Musique antillaise -Musique auvergnate -Musique basque -Musique bretonne -Musique corse -Musique flamande -Musique landaise -Musique limousine -Musique occitane -Musique réunionnaise
La chanson française des années ‘90, plus tournée vers le texte que vers « l’effet », pourrait se résumer à une réaction à la chanson française des années ‘80 jugée plus « légère ».
La chanson française des années ‘90 n’est pas « une », au sens où la dite « variété » et les artistes établis (Souchon, Voulzy, Goldman…) tiennent toujours une place prépondérante dans le paysage musical hexagonal des années ‘90. Mais aux côtés de ces deux « écoles » se développe un mouvement autrement appelé « nouvelle scène française ». Des artistes comme Dominique A, Miossec, Bertrand Burgalat prônent et établissent un retour au texte et à la poésie de leurs ainés Brel, Brassens… Ces artistes trouvent un large public et « rétablissent la chanson française dans ce qu’elle a de meilleur ».
Aujourd’hui un de les plus connus artists de France est David Guetta qui est un DJ français, compositeur, réalisateur et remixeur de musique. En 2011, il est élu le meilleur DJ du monde .
La Fête de la Musique a été créée par Jack Lang, ministre de la culture dans cette epoque, qui décide de lancer la première Fête de la Musique, le 21 juin 1982, jour du solstice d’été, nuit païenne se référant à l’ancienne tradition des fêtes de la Saint-Jean. « Faites de la musique, Fête de la Musique », la formule devenue mot d’ordre n’avait rien du slogan. Cette mobilisation des musiciens professionnels et amateurs, cette attention nouvelle portée à tous les genres musicaux, devenaient ainsi, à travers la réussite immédiate d’une manifestation populaire et largement spontanée, la traduction d’une politique qui entendait accorder leur place aux pratiques amateur ainsi qu’au rock, au jazz, à la chanson et aux musiques traditionnelles, aux côtés des musiques dites sérieuses ou savantes.
Cette année le 21 juin 2012 : Faites de la Musique ! La musique pop a 50 ans. Il y a des concerts, soirées ou événements gratuits ouverts au public... Il a lieu à Paris et dans toute la France !
joi, 2 aprilie 2015
La gastonomie franÇaise
Le vin.
Le vin est une boisson alcoolisée obtenue par la fermentation du raisin, fruit des vignes .
Le vin est une boisson alcoolisée obtenue par la fermentation du raisin, fruit des vignes .
La viticulture en France trouve ses sources à l'époque de la colonisation grecque.
Les premiers comptoirs grecs établis sur les
rivages méridionaux de ce qu'aujourd'hui est la France
furent fondés entre le VIIe et le VIe siècles av. J.‑C. par les Grecs phocéens, qui y apportèrent la culture de la vigne et du vin.
La France étant l'un des pays de l'héritage latin, le vin fait partie intégrante de sa culture. La façon dont la culture française s'est investie dans l'élaboration de ses vins lui a même valu la réputation internationale d'être
« le pays du vin ».
En France, 2,1 % des zones cultivées étaient consacrées à la viticulture. Celle-ci consommaient 20 % des pesticides utilisés en France.
La France produit 20% du vin de la planète et reste le premier producteur mondial en 2010 avec 44,75 millions d'hectolitres.La diversité du climat français associée à une infinité de terroirs, géologiquement très variés, sont particulièrement propices à la culture de la vigne et à la production de grands vins.
Les vins de Provence ont une origine très ancienne. Les grecs, fondateurs de la bonne ville de marseille, y plantèrent les premiers ceps. Le rosé est la grande spécialité de la région. Il est savoureux, fruité et d'une robe chatoyante.Le vin blanc est plutôt sec, et parfois pétillant. Il se marrie à la perfection avec les produits de la mer toute proche.Le champagne est le vin pétillant le plus connu au monde. C'est aussi l'un des meilleurs vins et l'une des techniques de vinification les plus originales. Grâce au grand moine bénédictin Dom Pérignon, les moments festifs, d’un grand nombre d’habitants de la planète, se fêtent au champagne.
La Vallée de la Loire est l’une des régions qui offre des palettes d’arômes et de couleurs les plus variées de France. Les vins de la Loire connurent un essor considérable à la Renaissance, à l’époque où les châteaux royaux possédaient leur propre vignoble. Ces vins participèrent grandement à la bonne réputation gastronomique française, dans cette région bercée par le fleuve de la Loire et ses châteaux majestueux.
La région de Bordeaux est la plus importante région productrice de vin de qualité en France et dans le monde.Le vignoble de Bordeaux est un vignoble français circonscrit aux limites culturales de la vigne dans le département de la Gironde.Le vignoble de Bordeaux produit 80 % de vins rouges et 20 % de vins blancs secs ou liquoreux, des rosés et des vins mousseux.
Quelques uns des vins les plus intéressants au monde viennent de Bourgogne. D'ailleurs la région Bourgogne produit deux des vins les plus populaires en France :
Beaujolais et Chablis. La région Bourgogne produit des vins rouges (61%), à base des cépages pinot noir et gamay, et des vins blancs (31%), à bases de cépages chardonnay et aligoté.Le pinot noir est le principal cépage noir de la Bourgogne. Il représente 36 % de la production de vin en Bourgogne. Il est probablement originaire de cette région et était sans doute déjà cultivé par les Gaulois avant la conquête de la Gaule par les Romains.
Abbé Prévost - Manon Lescaut
Ecrit par l’Abbé Prévost, Manon Lescaut est un ouvrage du 18ème siècle qui a été publié en 1731. L’inspiration de Manon lui est venue d’une histoire d’amour qu’il n’a pas pu vivre avec la fille d’un huguenot.Ecrit en deux parties, ce livre parle d’une histoire d’amour entre le Chevalier des Grieux et une jeune fille nommée Manon. Cette dernière devait aller au couvent pour recevoir une éducation stricte qui l’éloignera des vices. Mais elle s’enfuit à Paris avec le Chevalier.Alors qu’ils étaient fauchés, le Chevalier apprend que Manon se donne à leur voisin afin de gagner un peu d’argent. Après une période de séparation où le Chevalier fut enfermé par son père et étudia les enseignements catholiques, les deux amants se retrouvèrent. Mais une fois encore leur aventure ne fut pas de tout repos entre combine, amour et trahison.
Première partie
Dans un «Avis» initial, un «homme de qualité», Renoncour, explique qu’il a placé cette histoire après la conclusion de ses mémoires, parce qu'elle était trop longue et qu'elle n'avait joué aucun rôle dans sa vie, tout comme il n'avait joué qu'un rôle mineur dans le destin des deux amants dont l’histoire allait suivre, lui se contentant en effet d'introduire le récit qui occupe l'essentiel du roman.
En octobre 1720, à Pacy-sur-Eure, il fut impressionné par la grâce d’une jeune femme qui faisait partie d’un convoi de filles de mauvaise vie enchaînées, prêtes à être déportées en Louisiane, et qui était acompagnée d’un jeune homme affligé. Touché par sa détresse, il lui ouvrit sa bourse.
Or, en 1723, à Calais, il rencontra pour la deuxième fois le jeune homme, qui était en fort mauvais état, pleurant, inconsolable, à la fois sa maîtresse et ses fautes, dramatiquement conscient de l'irréparable, traînant, comme une âme en peine, une existence sans but. À l'auberge du Lion d'or, le jeune homme se présenta (il était le chevalier des Grieux, cadet de bonne famille), et entreprit le récit de ses malheurs, les cinq années de son aventure.
En 1717, âgé de dix-sept ans, destiné par son père à l'ordre de Malte, ordre religieux de moines-soldats, le jeune chevalier venait d'achever ses études de philosophie à Amiens, et se disposait à rentrer dans sa famille, lorsqu'il vit, à un relais de poste, une jeune fille «charmante» qui «l’enflamma tout d’un coup jusqu’au transport», qu’il considéra aussitôt comme «la maîtresse de [son] coeur». Il apprit d’elle que ses parents, pour arrêter «son penchant au plaisir», l’envoyaient en un couvent où il lui déplaisait d’aller enfermer sa jeunesse, sa beauté et sa gaieté. Grâce à son «éloquence scolastique» et malgré les remontrances de Tiberge, son vertueux ami, il n'eut aucune peine à la convaincre de se laisser enlever, de s'enfuir avec lui qui lui offrait de la conduire à Paris où ils se divertiraient et se marieraient.
À Paris, le couple s'installa rue Vivienne. Manon, prétendument du fait de son origine plus modeste, refusa l'offre de mariage que lui fit des Grieux, même s’il était trop jeune pour obtenir de l’épouser ou même pour l’entretenir. Devant ce refus, il eut de premiers soupçons. En effet, alors que c’était l’amour qui le menait, c’était l’attrait d’une existence de luxe et de plaisir qui menait Manon. Aussi, éblouie par le luxe et les divertissements de la vie parisienne, elle disparut un soir pour rejoindre le «fermier général» (le financier), M. de B., avec lequel elle le trompait. Le chevalier fut alors enlevé par les laquais de son père, qui le railla de sa naïveté, et le séquestra. Des Grieux finit par se rendre à ses objurgations, entra au séminaire à Amiens, avec Tiberge, et se plongea dans l'étude.
Mais, un jour d'exercice public à Saint-Sulpice, Manon, enrichie, réapparut au parloir, et, dissipant ce zèle religieux, «enleva» des Grieux. Il lui pardonna, se défroqua, et reprit l'épée. Le couple s'installa à la campagne, mais Manon s'y ennuyant, ils louèrent aussi un appartement à Paris. Ils y menèrent joyeuse vie tant que l'argent ne manqua pas. C'est alors que Lescaut, le frère de Manon, se fit connaître : débauché et tricheur, ce truand contribua au gaspillage de l'argent du couple, qu'un incendie acheva de dilapider. Lescaut conseilla alors à des Grieux, qui avait déjà eu recours à l'aide fraternelle de Tiberge, d’en gagner en se livrant au jeu. Craignant d'être à nouveau quitté par Manon, le chevalier devint un tricheur redoutable. Mais, dévalisés par leurs domestiques, les deux amants finirent par être totalement ruinés.
Son frère conseilla alors à Manon de profiter de ses charmes en acceptant les caresses du vieux et libidineux M. de G... M.... Elle en avisa des Grieux, qui fit taire ses scrupules, et accepta de voler le vieillard en compagnie de Manon et de Lescaut. Mais M. de G... M... ne tarda pas à retrouver la trace du couple, et le fit arrêter.
À la prison de Saint-Lazare, destinée aux fils de famille, des Grieux, s'évertua à jouer un rôle d'hypocrite qui ne lui réussit pas trop mal : touché, le vieux M. de G... M... lui rendit visite. Mais, ayant appris par le vieillard que Manon croupissait à l'Hôpital général, le jeune homme manqua l'étrangler. Il lui fallait s’évader. Il se fit procurer par Lescaut un pistolet, et en usa pour se faire ouvrir les portes de sa prison, tuant malencontreusement le portier. Grâce à l'amitié que lui manifestait le fils d'un administrateur, M. de T., il fit évader Manon. Reconnu par une victime de ses tricheries, Lescaut fut abattu dans la rue. Le couple se cacha dans le village de Chaillot. Aidé à nouveau par Tiberge, des Grieux apprit que le scandale était étouffé. Il pouvait respirer, peut-être reprendre ses études. Mais il rompit avec son père.
Renoncour indique : «Le chevalier des Grieux ayant employé plus d’une heure à ce récit, je le priai de prendre un peu de relâche et de nous tenir compagnie à souper.»
Deuxième partie
À Chaillot, le couple s'installa à l'hôtellerie du village, où, un jour, descendit le fils de M. de G... M.... Il s'éprit de Manon, qui le suivit, envoyant à des Grieux une courtisane, pour qu’il patiente. Furieux, il fit enlever le jeune G... M..., et retrouva Manon chez lui : la réconciliation canaille se fit dans les draps du monsieur. Mais un domestique avait donné l'alerte au vieux G... M... : le couple fut arrêté. Des Grieux, conduit au Châtelet, fut vite libéré, mais apprit que son père, qui voulait le ramener à ses devoirs sociaux et à sa vocation de chevalier de Malte, et M. de G... M.... avaient obtenu la déportation de Manon en Louisiane.
Même s’il était désespéré et à bout de ressources, il envisagea de recourir à la force pour arracher sa maîtresse des archers qui l'amenaient au Havre, enchaînée avec d’autres filles de joie. Cependant, les braves qu'il avait recrutés s'enfuirent lâchement. Il décida alors d'accompagner la petite troupe, obtenant, moyennant finance, quelques conversations avec Manon. Au Havre, il décida de s'embarquer comme volontaire.
En Louisiane, des Grieux et Manon s'installèrent au «nouvel Orléans» dans la pauvre petite cabane qu'ils avaient obtenue, le gouverneur ayant fait preuve de bienveillance à leur égard. Et commença, pour le couple qu'on croyait marié, une vie neuve, avec un bonheur plein en perspective, leur amour étant épuré par les épreuves, régénéré dans le paradis américain. Encouragés dans la vertu par la simplicité de leur vie, ils pensèrent pouvoir accomplir enfin leur premier projet, qui était de se marier, de régulariser leur situation devant Dieu et d’être à jamais l'un à l'autre. Mais, apprenant que Manon était libre, le neveu du gouverneur, Synnelet, la demanda en mariage à son oncle qui la lui accorda. Les deux rivaux s'affrontèrent en duel : des Grieux, blessé au bras, blessa lui-même son adversaire. Il crut l’avoir tué, et il lui fallut fuir. Mais il eut la satisfaction de voir Manon s'enfuir avec lui. Cependant, peu faite pour une vie rude et des émotions violentes, épuisée par une longue marche dans le désert, elle mourut soudainement, et, inconsolable, le cœur torturé et les yeux brûlés de larmes, il creusa sa tombe de ses propres mains.
Ramené à La Nouvelle-Orléans, disculpé sur la demande même de Synnelet, qui était bien vivant, des Grieux mena une vie lamentable, sans but, jusqu'à l'arrivée de Tiberge, l’indéfectible ami qui était venu lui porter secours, mais avait été capturé par des corsaires espagnols qui l’avaient «conduit dans une de leurs îles». Dès qu'ils le purent, les deux amis prirent le bateau pour la France.
Des Grieux y apprit la mort de son père, miné par le chagrin, y retrouva sa famille et la vertu, Dieu l’ayant fait «retourner à Lui par les voies de la pénitence».
John Milton - Paradise Lost
John Milton was born in London, his father was a law writer who had achieved some success by the time Milton was born. This prosperity afforded Milton an excellent education, first private tutoring, then a private school and finally Cambridge. Milton, a studious boy, excelled in languages and classical studies. His father had left roman catholicism and Milton was raised protestant, with a heavy tendency toward puritanism.
Paradise Lost is an epic poem written by John Milton, one of the greatest poets of the english language. Milton's powerful, rhetoric prose and the eloquence of his poetry had an immense influence especially on the 18th century verse. Milton published pamphlets defending civil and religious rights. Milton speaker begins Paradise lost by stating that his subject will be Adam and Eve's disobedience and fall from grace. He invokes a heavenly muse and asks for help in relating his ambitious story and God's plan for humankind. The story opens in hell, where Satan and his followers are recovering from defeat in a war they waged against God. They build a palace, called Pondemonium. He journeys across chaos till he sees the new universe floating near the larger globe which is heaven. God sees Satan flying towards this world and fortells the fall of man. His son, offers to sacrifice himself for man's salvation. Satan flies to the sun, where he tricks an angel, Uriel, into showing him the way to man's home. Satan gains entrance into the Garden of Eden, where he finds Adam and Eve and becomes jealous of them. Uriel warns Gabriel and his angels of Satan's presence. Satan is apprehended by them and banished from Eden. God sends Raphael to warn Adam and Eve about Satan and he relates how the world was created so mankind could one day replace the fallen angels in heaven. Satan returns to earth, and enters a serpant. Finding Eve alone, he induces her to eat the fruit of the forbidden tree. Adam, resigned to join inher fate, eats also. Their innocence is lost and they become aware of their nakedness. In shame and despair, they become hostile to each other.The Son of God descends to earth to judge the sinners, Satan and his crew are turned into serpents as punishment and Adam reconciles with Eve.
In sadness, mitigated with hope, Adam and Eve are sent away from the Garden. The themes of this play are the importance of obedience to God, the hierarchical nature of the universe; the motifs are light and dark and conversation contemplation; and the symbol is Adam's wreath.
Paradise Lost is an epic poem written by John Milton, one of the greatest poets of the english language. Milton's powerful, rhetoric prose and the eloquence of his poetry had an immense influence especially on the 18th century verse. Milton published pamphlets defending civil and religious rights. Milton speaker begins Paradise lost by stating that his subject will be Adam and Eve's disobedience and fall from grace. He invokes a heavenly muse and asks for help in relating his ambitious story and God's plan for humankind. The story opens in hell, where Satan and his followers are recovering from defeat in a war they waged against God. They build a palace, called Pondemonium. He journeys across chaos till he sees the new universe floating near the larger globe which is heaven. God sees Satan flying towards this world and fortells the fall of man. His son, offers to sacrifice himself for man's salvation. Satan flies to the sun, where he tricks an angel, Uriel, into showing him the way to man's home. Satan gains entrance into the Garden of Eden, where he finds Adam and Eve and becomes jealous of them. Uriel warns Gabriel and his angels of Satan's presence. Satan is apprehended by them and banished from Eden. God sends Raphael to warn Adam and Eve about Satan and he relates how the world was created so mankind could one day replace the fallen angels in heaven. Satan returns to earth, and enters a serpant. Finding Eve alone, he induces her to eat the fruit of the forbidden tree. Adam, resigned to join inher fate, eats also. Their innocence is lost and they become aware of their nakedness. In shame and despair, they become hostile to each other.The Son of God descends to earth to judge the sinners, Satan and his crew are turned into serpents as punishment and Adam reconciles with Eve.
In sadness, mitigated with hope, Adam and Eve are sent away from the Garden. The themes of this play are the importance of obedience to God, the hierarchical nature of the universe; the motifs are light and dark and conversation contemplation; and the symbol is Adam's wreath.
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