Blaise Pascal
(1623-1662)
Blaise Pascal: nait le 19 juin 1623 à Clermont, ou son père
Etienne est administrateur des Finances. Il perd sa mère à trois ans. Blaise étudie
le grec et le latin. Il est éduqué par son père. A 16 ans Blaise rédige un Traité des Coniques.
A 19 ans, en 1642, il invente la machine à calculer. Il a été un mathématicien,
physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français. Blaise
Pascal est un génie! Il meurt prématurément à l’âge d 30 ans cause d’une tumeur
à l’estomac en 19 aout 1662 à Paris.
Périodes de création
: -1639 Publication Posthume des Pensées
-1640
Son premier ouvrage: L’essai sur les
Coniques -1642
Il invente une machine arithmétiques
pour aider son père -1658
Pascal expose lors d’une conférence à Port Royal l’Apologie de la religion chrétienne.
Son
œuvre:
-Essai pour les coniques -Expériences
nouvelles touchant le vide
-Elément
de géométrie -Histoire
de la roulette
-L’Art
de persuader
-Pensées
-Les
Provinciales
Dans
les Pensées, œuvre posthume publiée
en 1670 Pascal réunit les notes qu’il destinait à l’élaboration d’une apologie
de la religion chrétienne. Exercé en tant que scientifique au maniement de la
logique, Pascal a pris conscience lors de sa période mondaine (1651-1654) de l
‘intérêt de la rhétorique pour persuader un interlocuteur libertine qu’il
voudrait tourner vers Dieu. L’évocation de deux infinis est une illustration
célèbre de cette alliance de la rigueur
logique et du recours aux procédés de style C’est pourquoi après avoir mis en évidence le schéma argumentatif
du passage, nous étudierons l’utilisation que fait Pascal de la rhétorique pour emporter l’adhésion du lecteur. Pascal qui s’est assigné comme objectif
de montrer à l’homme les limites de sa
raison, construit son explication en trios points:
1) En bon pédagogue
il s’appuie tout d’abord sur ce que l’homme peut observer par lui-même de plus impressionnant: le spectacle de la
voute céleste dont il est oblige de
convenir qu’il le dépose.
2)
Puis il envisage les données que pouvait fournir l’imagination au sens
scientifique, quand elle dépasse les apparences sensible pour montrer au libertin
confiant dans sa raison, les limites de la pensée conceptuelle. Notre
imagination se perd dans cette pensée, c’est- à -dire la pensée de Dieu, auteur
de la nature.
3) Il conclut avec logique et ironie que l’homme
n’est rien ni dans l’espace ni par la pensée. Pascal
dit que la culture est une seconde nature, qui détruit la première. Notre ennui
vient de la misère de notre condition: dès que nous ne sommes plus divertis,
nous pensons à nous, donc nous sommes malheureux; et pourtant tous les hommes désirent
être heureux: le paradis, Dieu. L’homme
est donc misérable mais aussi grand, car il a conscience de sa misère et le désir
d’y échapper: il n’est ni ange, ni bête ; d’où la vérité du christianisme qui
explique cela par l’origine divine
d’homme (à l’image de Dieu) mais déchu par le péché original. Ainsi le
moi est haïssable, car il est toujours incurablement égoïste et vaniteux.
Le
moi est aussi, inconnaissable, comme toute chose: on ne connait que les
apparences. D’ailleurs on ne peut guère connaitre les choses car tout est différent.
L’homme, pris entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, ne peut presque
rien connaitre. Pascal constate la diversité des lois, d’où scepticisme quant
au <<droit naturel>> ; L’homme étant déraisonnable, les lois déraisonnables
sont en fait raisonnables: aussi une loi injuste est en fait juste car du
permet d’éviter les conflits inhérents à la recherché du mérite. Pascal
multiplie les procédés stylistiques. Il revient à l’homme pour faire ressentir
sa vanité et son néant. Il
commence par une antithèse associée à un
jeu des mots que l’homme considère ce qu’il est prix de ce qui est c’est- à -dire
qu’il prenne conscience a l’étendu et à la puissance de la nature créé par
Dieu. Ce texte célèbre le
plus caractéristique de la stratégie pascalienne qui allie le brio de l’homme
de lettres a la rigueur de l’homme de sciences et de sa pensée toujours en mouvement qui n’hésite pas devant le paradoxe pour atteindre
un plus haut degré de vérité. Conscient
des limites de la pensée humaine il la juge incapable de rendre
compte de la complexité du monde et il considère le recours à Dieu dans l’ordre de la charité comme le seul moyen d’échapper à
l’illustration et au désespoir. Blaise
Pascal est une personne très intelligente avec beaucoup de qualités. Il est bon
en maths, il aime la physique, la philosophie. Blaise Pascal est un génie en
tout. Blaise Pascal est un classique! Le classicisme est un mouvement littéraire
en France. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui
dessinent un idéal dans << l’honnête
homme >> Blaise Pascal est un classique parce que il est né en XVII e
siècle. Un siècle qui est représentatif
pour l’époque du classicisme.
Le classicisme est
plus qu’une simple mode artistique éphémère, c’est avant toute une philosophie
une façon de voir les choses qui est née avec la Renaissance et les
pensées de humanistes européens. L’œuvre
de Pascal est très intéressante et a attiré mon attention en une manière spéciale.
Ses concepts sont bien pensés. Blaise Pascal est un homme de grande valeur.
Niciun comentariu:
Trimiteți un comentariu